Nous avons commencé par une étude de l’évolution historique et architecturale du parc de la villette pour comprendre la philosophie de Tschumi quant à l’aménagement de cet espace en 1983 et des enjeux qui y sont liés à savoir une promotion de culture à travers les sciences la technique et surtout la musique.
Mais également l’articulation d’un grand parc de 55 h dont 33 d’espaces verts acollé à Paris.
Mais également l’articulation d’un grand parc de 55 h dont 33 d’espaces verts acollé à Paris.
On en conclu que ce lieu est en constante quête d’identité en rapport avec le programme qu’il accueille et que le trabendo n’a pas de mal a revêtir de nouvelles capes dont nous allons nous saisir, pour proposer de nouvelles expériences au public qu’il accueille.
Stanislas Dieupart x Louis Lepellec
Dans cette démarche et après s’etre nourris de nos analyse, notre projet porte sur la création d’une traversée sensorielle qui traitera de la notion de mouvement dans différents espaces, du rapport au temps qui se dilate ou se contracte ou encore du rapport entre la scène et la salle à différentes échelles.
Ce cheminement prendra forme depuis l’ext de la follie jusqu a l’interieur de l’oreille du trabendo pensée par Tschumi et accentuée dans notre proposition
Cette démarche nous permettra de d’offrir un parcours immersif et réfléchis qui accompagne les clients jusque devant la scene où vie le cœur du trabendo, en cadrant différents points de vue les plus intéressant en cours de route ou encore de jouer sur les distances à parcourir pour atteindre l’objectif en fonction des espaces dans lesquels on se trouve. Ce rapport au mouvements se poursuis ensuite jusqu’à la sortie du trabendo ou le client est accompagné par notre intention de cheminement et vivre l’expérience jusqu’au bout.
Ce cheminement prendra forme depuis l’ext de la follie jusqu a l’interieur de l’oreille du trabendo pensée par Tschumi et accentuée dans notre proposition
Cette démarche nous permettra de d’offrir un parcours immersif et réfléchis qui accompagne les clients jusque devant la scene où vie le cœur du trabendo, en cadrant différents points de vue les plus intéressant en cours de route ou encore de jouer sur les distances à parcourir pour atteindre l’objectif en fonction des espaces dans lesquels on se trouve. Ce rapport au mouvements se poursuis ensuite jusqu’à la sortie du trabendo ou le client est accompagné par notre intention de cheminement et vivre l’expérience jusqu’au bout.
Toutes notre démarche réside dans l’approche progressive que le client aura à l’ambiance, à la scène et au bar qui font corps dans un bloc curviligne et continue qui polarise l’attractivité du lieu et permet une circulation fluide et une approche sensible du lieux par une répartition réfléchie des différents espaces.
Mais aussi de réfléchir quand à la connexion que notre proposition aura avec les pillonnes et différents éléments porteurs qui rythment l’espace.
Nous avons donc intégré sa démarche formelle quant au concept de point ligne surface :
En englobant les éléments porteur dans notre tracé qui sont les ponctuations de notre architecture, en créant un mouvement et une traversée curviligne qui est la ligne continue et en polarisant l’espace avec le bar/scene et de l’autre coté l’entrée/vestiaure/distribution nous créons les surfaces d’attraction du lieu.